Le Rimbaud Warrior

 

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Moi A bord de ma galère...

Le Rimbaud Warrior est une petite embarcation perdue, à l'éthylomètre dérèglé voguant depuis plus d'une saison en enfer.

dimanche 26 novembre 2006

Avec un poil de retard !

Au-delà de ce titre qui vous permettra d'admirer l'aisance avec laquelle je manie l'euphémisme, j'ai enfin refait quelques vidéos (A la demande de mes nombreux (deux !) fans... Malheureusement la synchronisation entre le son et l'image est partie en pause café pendant l'enregistrement. Je suis donc à la recherche d'un logiciel de capture vidéo performant, simple et gratuit (S'il fait le café, c'est encore mieux)


Première vidéo : Le légendaire thème A de Tetris !



Et en deuxième, histoire de rendre hommage à ce groupe monumental : Hallowed Be Thy Name de Iron Maiden (On pardonnera les pains et la synchronisation pour qui "médiocre" serait un compliment ici) :



Je retourne donc hiberner un mois ou deux (Pour dire la vérité, je travaille sur un petit morceau de Bach dont vous me direz, un jour, des nouvelles). (Après visionnage, il s'avère que YouTube m'a mangé toutes les fins de vidéos à cause de la synchro pourrie. Un coup presque pour rien donc, car ça me donne une bonne raison de vite trouver un logiciel d'acquisition vidéo potable)

samedi 14 octobre 2006

Il est temps de sortir de mon silence

Non parce que, quand même, ça fait un mois et demi depuis le dernier billet, qui n'était pas des plus gais.

Et puis bon, là c'est pour poster une bonne nouvelle. Vous n'avez pas l'habitude de me voir joyeux, alors profitez-en !


La bonne nouvelle sus-citée (Non, ce n'est pas cochon), c'est que j'ai fait récemment l'emplette d'une webcam, je vais donc pouvoir à nouveau poster des vidéos. Surtout que j'ai plein de nouvelles choses à montrer ! (Car je ne poste plus sur mon blog, certes, mais je ne chome pas pour autant !)

Voilà, voilà...Sinon, je pourrais parler des prochaines élections, ou de l'immigration choisie, ou des chaussettes de l'archiduchesse (Qui sont, je le rappelle, sèches et archi-sèches) ou de tout autre sujet brulant de l'actualité; mais comme ça ne m'interesse pas, ou que ça m'énerve, voire les deux à la fois, je vous épargnerai ce grand brassage de vent (Et derrière, par la même occasion. Ne soyons pas chiches).


A propos, je suis encore surpris (Et presque déçu) de voir que mon précédent billet n'a pas déclenché le courroux d'une horde de commentateurs skyblogiens, voire youtubesques... J'essaierai très prochainement de dire ce que je pense de M. Pokora, ou de 50Cents (J'arrete assez tot l'énumération de peur de m'emporter devant le nombre de ces cibles potentielles, je pourrais y perdre tout sens commun et lancer une croisade contre ce genre de produits, en opposant toujours les mêmes arguments -Il faut dire que rien ne les distingue- ce qui, vous en conviendrez, serait relativement emmerdant à lire, et à écrire. Et puis je n'ai pas la prétention d'arriver à la cheville de la chiantise* d'un Zola).



*On peut aussi dire chiantisserie, mais c'est plus désuet...

mardi 13 juin 2006

Un billet sans vidéo, c'est comme un saut en parachute sans intelligence...

...Ou peut-être que je me mélange les pinceaux.

Voilà donc la situation inconfortable dans laquelle je me trouve actuellement : Je n'ai plus de vidéo à vous mettre sous la dent, il va donc falloir que je propose du contenu par mes écrits uniquement. Dur.

C'est qu'il est loin le temps du cache-misère multimédia ! Et il va falloir que je m'y habitue, que je trouve des sujets interessants (Et là, attention, piège ! Car ce qui est interessant pour moi ne l'est pas forcément pour vous !) et que j'y injecte assez de matière pour modeler de beaux petits billets garantis 100% naturels, travaillés à la sueur de mes neurones et à l'impulsion électrique de mes extensions metacarpiennes. Et vice et versa.

Donc, disais-je avant de me couper moi-même la parole, il faut trouver un sujet. Bien.
- Essayons "Je" : C'est un peu narcissique, et puis je n'ai rien d'interessant à raconter sur moi, je le sais bien, je me connais et d'ailleurs je me ressemble comme deux gouttes d'eau.

- Au tour de "Tu" : Non, ça ne colle pas vraiment non plus, tout simplement parce que pendant que tout le monde pensera que je lui parle en particulier, tous les autres seront jaloux.

- "Il" : Oui, c'est pas mal ça...Mais de quel "Il" parler ? En plus, je suis sur que... Si je réfère à un canari par ce "Il", on me reprochera de faire de l'humour facile (Notez l'alexandrin).

- "Nous", "Vous", "Ils" : Le problème des pluriels, outre le fait qu'ils peuvent devenir une véritable gageure à accorder, c'est que très souvent ils représentent des sujets multiples sans tous les nommer individuellement, et qu'on est alors bien en peine de dire si on connait toutes ces personnes cachées (les pleutres !) derrière l'anonymat du nombre. C'est à se demander pourquoi la langue française appelle encore ces pronoms pluriels des pronoms personnels alors que la langue de boeuf est une merveille dés lors qu'on lui ajoute des légumes et de la béchamel.

Reste le sujet ouvert, qu'il faut trouver, décortiquer, analyser, tourner et retourner suivant le soleil et arroser une fois par semaine en ajoutant du terreau si besoin. Le sujet ouvert est souvent une question...
Comme par exemple : "Combien font 2+2 ?"

A laquelle je répondrai : "Non, moi je suis pour".

mercredi 24 mai 2006

"Jusqu'ici, tout va bien"

A ceux qui s'interrogeraient sur mon mutisme soudain et assez malvenu pour le commencement de ce blog, je dis ceci : "Craignez les périodes d'examen, car elles vous coupent de la véritable nature de la vie". Non pas que je veuille encenser la philosophie épicurienne que mes contemporains appliquent à loisir (Si vous me permettez le jeu de mot), étant parfaitement conscient qu'on peut prendre du plaisir dans l'accomplissement de son travail. Mais force est de reconnaitre que personne n'aime les examens. Au mieux, on s'en moque, le stress n'ayant pas plus de prise sur le candidat qu'une fourchette sur un petit pois au beurre. Au pire, on se fait dessus des semaines à l'avance, à imaginer le pire, à voir dans l'examen raté une fin des temps, le pire des échecs, le symbole d'une vie désormais vouée à l'insignifiance et à la médiocrité... Bref, un Examageddon. Dans tout les cas, impossible d'apprécier cette succession de questions oscillant entre le stupide par-coeur et l'application de connaissances acquises au long d'un cursus, connaissances qui ne serviront bien souvent qu'à la réussite de l'examen sus-cité.

Bref, je cesse là ma digression pour te rassurer, toi mon lecteur. Je suis toujours là, et ne compte pas abandonner ce blog.

Afin de faire un peu passer la pilule de l'absence de billets (Je devrais me lancer dans la rédaction d'un manuel...Je vois d'ici le titre : "Comment faire semblant de proposer du contenu sur son site Internet pour faire patienter les éventuels visiteurs") je vous propose une dernière petite vidéo, prise de justesse avant de voir ma webcam partir dans un fracas cardiaque commun. C'est la Marche Turque de W.A. Mozart.



Il me reste à vous présenter les pauvres bêtes qui hurlent sur ces vidéos, soumises à mes tortures digitales. Je vais faire ça de façon très originale, c'est à dire par ordre d'acquisition...Ce qui représente, c'est là que réside l'originalité, l'ordre inverse à celui d'apparition.
J'espère que les non-guitaristes, ou que les guitaristes non-techniciens ne me reprocheront pas l'énumération de caractéristiques techniques qui suit les photographies.
On commence par ma Jackson Randy Rhoads japonaise (Modèle RX10D) dont vous pouvez admirer le manche sur la vidéo de ce billet.



22 frettes, micros Seymour Duncan, vibrato sous license Floyd Rose, cette guitare possède un manche très large (proche de celui des guitares classiques) et très plat, très agréable à jouer. Elle est actuellement montée en medium (cordes Dean Markley) et accordée en Ré.


La guitare suivante, que vous pouvez admirer sur les autres vidéos, est beaucoup plus rare. C'est en effet une Fender Stratocaster Signature Iron Maiden. Vous avez droit à trois photographies, pour la peine.

Vue d'ensemble :


Détail du matériel :


Détail de la tête :


Au passage, je sais que mon canapé est horrible. J'ai d'ailleurs changé depuis la prise des photos.
Les caractéristiques de la bête : 22 frettes, 3 micros double-bobinage Seymour Duncan (Deux HotRails sur les position manche et milieu et un JeffBeckJr sur la position chevalet), vibrato Original Floyd Rose, manche assez rond, tout en érable et assez large. C'est le manche le plus confortable qu'il m'ait été donné de jouer. Au niveau du design, la plaque miroir est vraiment superbe, même si assez fragile et sensible aux rayures.
Et pour l'anecdote, cette guitare a été achetée neuve il n'y a pas si longtemps, alors que sa production n'a été que de 1500 exemplaires en 2000.

samedi 6 mai 2006

Chose promise, chose dûe !

Devant l'insistance de mes nombreux fans (Je les cherche encore, en vérité, mais j'essaie de donner l'impression que ce blog est lu par des gens, pour en faire venir d'autres, peut-être...) suite à mon précédent billet, je me décide à poster quelques vieilles vidéos guitaristiques.
J'avoue ne pas en avoir fait depuis des lustres, d'ailleurs, vous pardonnerez donc le son fort minable de mon 15 watts transistors Fender (Un poste de radio donc), repiqué par le micro de ma webcam Logitech (15€, c'est dire la qualité).

Premier extrait : Le solo de Crazy Train d'Ozzy Osbourne (Vous saviez que c'était une reprise, vous ?)


J'avais aussi enregistré une petite reprise de la Toccata de J.S. Bach, en esperant que vous me pardonnerez la bourde finale


Pour terminer le supplice, je vous propose les solis d'intro et de fin de la chanson Fade to Black de Metallica
Le début :


Et la fin :


Merci à Novo pour l'information sur l'hébergement :)
Si vous êtes sages, j'ai une Marche Turque de Mozart en stock, pour le prochain billet. Ah oui, il faut savoir ménager son public, quand même.